Buffet Froid est très heureux de vous proposer ce concert de CUT HANDS et HamaYôko
Lundi 28 novembre 2011
21h00
8 euros
Cut Hands, c'est William Bennett, moitié du groupe mythique Whitehouse, précurseur de la musique industrielle et inventeur du "powerelectronics".
Avec ce projet Mr Bennett explore un nouveau genre "l'afronoise". Montées de nappes bruitistes et angoissantes accompagnées de rythmiques tribales portant vers la transe.
"Incroyable venue de William Bennet (des légendaires et provocants pionniers power-electronics WHITEHOUSE) avec son excellent projet solo CUT HANDS. Soit une revisite et exposition affolante de la passion pour Bennet des percussions polyrythmiques africaines, notamment les percussions traditionnelles congolaises et ghanéennes. Un premier disque de ce projet venant de sortir (au bout de 4 années de travail studio méticuleux) et franchement une claque d’intensité physique-trance-ritualistique tout simplement impressionnante et irrésistiblement industriello-noise-tribal.
Un sommet dans le travail de William Bennet et un mélange matraquant de machinerie/électronique discrète et de vaudou percussif, faisant avant tout ressortir le corps-noyau primal des rythmiques frénétiques ou quasi industrielles de tout une panoplie d’instruments percussifs et/ou traditionnels (trompes de chasseurs de têtes, djembes, doundouns, ksings, etc..). Plongeant-mixant le tout avec des textures atmosphériques, des drones immersifs ou même des quasi symphonies électroniques. Un disque direct-puissant-irrésisitible, créant un nouveau genre, l’AFRO-NOISE…. captivant et unique, par un passionné/amoureux de ces rythmiques percussives-là. Bon dieu, ça s’entend et une aubaine immanquable de voir comment tout cela est rendu en live.
A des années-lumières de la "world" music. Strident, atonal, menaçant, bouillonnant, rageant/rageur, intelligent, provocateur, dénonciateur, hautement concerné, ambigu, fascinant… et terrestre/chaud/chaleureux. Par un Maître-héros du genre. Monsieur William Bennet from Whitehouse. Ou la volonté de la dislocation totale des règles de l’Occident.
Dans le genre, immanquable, voire obligatoire." Cave12
"Peut-être le pas le plus radical dans l’évolution du Noise moderne"
The Wire
HamaYôko
Geisha-cut-up, pop kaléidoscopique, froide voire malsaine, digital-songs où le chaos règne en maître… Mix entre Scott Walker et Nico, mais avec un degré de violence beaucoup plus élevé. Collaboratrice familière de Lionel Marchetti ou Agathe Max, genre Zorn à l’époque de "The Big Gundown". Forte présence live, formidablement féminin !
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