Prochain concert

Egyptology + Fairhorns + "Thank God It's Friday " Mutant Disco vs Italo Disco le 17/05/2013

Edgar Présente:
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EGYPTOLOGY + FAIRHORNS (BEAK>)

VEN 17 MAI 2013

21h
LE SONIC
4 Quai des Étroits
69005 Lyon

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PAF:
10€ préventes / 12€ sur place

AFTER GRATUIT

"Thank God It's Friday " Mutant Disco vs Italo Disco


Préventes disponibles Lundi 22 Avril.
SOFA RECORDS
7 rue d'Algérie
69001 Lyon / Tél. 04 78 39 06 56.

DANGERHOUSE
3 Rue Thimonnier
69001 Lyon / Tél. Tél. 04 78 27 15 64
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EGYPTOLOGY
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Duo formé dans l’espace par les deux orfèvres Domotic et Olamm, EGYPTOLOGY ont parcouru les années 2000 à la recherche d’une chanson qui permettrait de synthétiser l’Arp Odyssey, la vierge Marie et les autoroutes de Krafwerk délocalisée sur le Nil. Ils tracent un axe synthétique sur pas moins de 30 années de musique voyageuse. Dorée à l’or fin à l’aide de claviers analogiques, en douze pistes, ils définissent avec précision la musique du futur telle qu’on l’imagine, à la fois géométrique et aventureuse, charnelle et déshumanisée, singulière et diablement générationnelle. Des monuments sombres en forme de pyramide synthétique pour une musique rétro-futuriste unique dans l’hexagone. Chez Egyptology, rien ne se perd et rien ne se transforme ; leur musique vise un ailleurs. That something isn’t here. Terminus, tout le monde s’élève.
http://egyptology.bandcamp.com/
http://vimeo.com/43546062

FAIRHORNS (BEAK>)
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Avec son projet solo nommé Fairhorns, le clavier fou de Geoff Barrow (Portishead) repousse les limites de l’inaudible, du moins pour ceux ayant découvert le solfège grâce à Nagui et NRJ. Avant d’en arriver à devenir le clavier attitré de Beak, groupe pas si parallèle que ça de l’ami Geoff échappé de Portishead, Matt a joué dans Team Brick – groupe non retenu par la postérité – pendant dix ans. Il a tout plaqué du jour au lendemain pour rejoindre l’aventure krautronic proposé par Beak, dans cette époque où rythmes tribaux et synthétiseurs vintage semblent faire aussi bon ménage que Nafissatou Diallo et procès civil. Composé à partir « d’orgues cassés et des samples dont la majorité vient de Youtube », la musique de Fairhorns ressemble parfois à un mode d’emploi de Yamaha ; c’est à la fois compliqué et dispensable, terriblement froid et malgré tout composé par un être humain. « Je n’ai pas cherché à faire le disque parfait, sans fausse note ni erreurs, mes boulettes je les ai intégré à l’enregistrement en leur claquant le beignet sous les overdubs ». Ce qu’on peut apprécier chez Beak, à savoir cette fuite des formats pop servant sur un plateau à l’auditeur boulimique tout ce qu’il aime – sucreries sur les refrains, bout de viande bien gras sur les paroles, on le retrouve sans surprise chez Fairhorns ; avec cette impression que le cuistot en chef n’y a pas été mollo sur la poivrière pour écœurer les gloutons fainéants. De la musique d’autiste qui échappe à toute convention, Fairhorns ou le délire maniaque d’un geek qui a les fils qui se touchent.
http://invada.bandcamp.com/album/doki-doki-run
http://www.youtube.com/watch?v=UTafiL3ypuY

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